Tome 1 : De mes doigts morts...
Scénario : Cullen Bunn
Dessins : Brian Hurtt
Traducteur : Françoise Effosse Roche
Editeur : Oni Press/Urban Comics
4ème de couverture : Alors que l'Amérique se remet difficilement des blessures de la Guerre Civile, d'inquiétants individus sillonnent le continent à la recherche de six revolvers maudits, détenant à eux seuls assez de puissance pour mettre fin à l'humanité. Parmi eux, le général confédéré Oleander Hume, créature suspendue entre la vie et la mort, attend dans son cercueil le jour où il pourra enfin remettre la main sur ces artefacts. Pour l'heure, son épouse et quatre de ses cavaliers les plus fidèles ont retrouvé la trace du 6ème revolver entre les mains de Becky Montcrief, jeune femme chechant à venger la mort de son père adoptif.
Avis : Ce premier tome est rondement mené avec beaucoup de scènes d'actions bien maîtrisées graphiquement par Hurtt. Cependant Bunn n'oublie pas de développer son intrigue et ces personnages notamment Sinclair le personnage principal qui est loin d'être blanc comme neige. Les méchants sont eux bien charismatiques notamment Mme Hume la vraie méchante de l'histoire.
Ce western mélange habillement western classique, fantastique et magie ce qui donne un bon cocktail et une histoire haletante.
En conclusion ce premier tome pause les bases de l'univers de ce western d'aventure à la Brisco County.
A découvrir.
La bande de méchant
Mai 1862, Virginie. Voilà plus d’un an que la guerre de Sécession fait rage
aux États-Unis. Allan Pinkerton est à présent le chef des services de
renseignement de l’armée de l’Union et de la sécurité rapprochée du président
Abraham Lincoln. Envoyé en mission dans un camp confédéré, l’un de ses espions
lui rapporte ce qui pourrait bien être la clé de la victoire finale : un plan de
bataille, écrit par la main du général Lee en personne !
Ce nouveau tome des aventures de Pinkerton nous plonge cette fois au
cœur de la guerre de Sécession, mettant en lumière les circonstances de la plus
sanglante bataille de la guerre civile américaine : le massacre d’Antietam, au
cours duquel 23 000 hommes perdront la vie en une seule journée.