Jonah Hex # 2

Bullets of Silver, cross of golk

Scénario : Justin Gray et Jimmy Palmiotti
Dessin : Luke Ross
Couverture : Leonardo Manco
Editeur : DC Comics

Jonah Hex se trouve dans une église où il est soigné par un prêtre. Soudain l'église est attaqué par des bandits qui vol une croix et tue le prêtre. Hex va respecter les dernières volontés du prêtre et va partir récupérer la croix avec l'aide d'Alma une jeune femme qui était là lors de l'attaque. Ils vont arrivé à Silverton. Une ville dont la richesse proviens d'une mine et est tenue d'une main de fer par Ironside un ancien confédéré.
Ce numéro deux est rondement mené avec un Hex toujours implacable et malin qui aura tout de même fort à faire face à Ironside un très bon pistolero. Les dialogues sont toujours aussi réussi et Hex est de plus en plus cynique voir ça dernière phrase : "pas si pauvres, ils sont couvert d'argent". Je vous laisse découvrir le sens de cette phrase en lisant cette aventure. En plus Luke Ross fourni un travail soigné tout comme Manco dessinateur argentin spécialiste des ambiances horrifique qui réalise une très belle couverture. D'ailleurs j'aurai bien aimé qu'il dessine une histoire de Jonah Hex car son style ferai merveille dans un western.

SOLO

The Stalking Horse

Scénario : Chuck Dixon
Dessin : Jordi Bernet
Editeur : DC Comics

Le "label" Solo consiste à réunir des histoires courtes d'un auteur dans un recueil. Il contient 5 histoires. The Stalking Horse raconte les origines de la marque au visage de Pilgrim faite par un ours qui a tué un ami à lui et dont un indien qui devait veillé sur le campement ait fuis par la peur que lui inspirait l'ours. Depuis lors, Pilgrim pourchasse l'indien pour se venger et également traque l'ours qui lui a fait cette marque.
Dixon (scénariste de beaucoup de très bon Batman) signe une histoire courte classique pleine de fureur, immorale et violente renforcée par le trait remarquable de Jordi Bernet (Torpedo) adepte du western et des ambiances poisseuses car il a dessiné beaucoup d'épisodes de Jonah Hex.
En conclusion je vous conseil de vous procurer ce recueil car en plus de cette histoire il y a une très belle histoire avec Batman et Poison Ivy.

Jonah Hex # 1

Giving the Devil his Due

Scénario : Jimmy Palmiotti et Justin Gray
Dessin : Luke Ross
Editeur : DC Comics

Nouvelle série du chasseur de primes le plus expéditif du monde du western en BD. Et les scénaristes Jimmy Palmiotti et Justin Gray ne déroge pas à la règle en donnant au début de l'intrigue toutes les caractéristiques du personnage de Hex lors du duel en lui donnant son côté expéditif et plein de principe. S'en suit une intrigue où il est "convoqué" par un riche propriétaire du nom de Foster qui lui demande de retrouver son fils. Il va suivre la piste d'un cirque où il voit que des enfants combattent des chiens féroce.
Ce premier numéro permet de se re-familiariser avec le personnage crée par De Zuniga et John Albano. Le seul vrai bémol pour moi dans ce numéro est le fait que Luke Ross est donné une allure à Hex et surtout un visage qui ressemble à Clint Eastwood. Mise à part ça il fait du bon travail avec un dessin hyper réaliste.
Pour ce premier volet la couverture est du génie écossais Frank Quitely ce qui ne gâche rien.
En conclusion c'est un premier numéro sympathique et qui lance la série qui à toujours cours aux Etats Unis.

L'alliance des Héros

Bravo and the Bold

Scénario : Bob Haney
Dessin : Jim Aparo
Editeur : Urban Comics/ Dc Comics

Pourquoi parlé de Batman dans un blog consacré au comics mais parce que dans cet épisode en compagnie des Metal Men, la "chauve souris" va combattre des indiens métis terroriste qui cherche à brûler la constitution des Etats Unis qui transit dans un train pour une exposition pour rétablir et restituer les terres qui leurs ont été volées par les "blancs".
C'est une histoire rondement menée par Bob Haney et magnifiquement dessiné par Jim Aparo qui est à l'honneur dans ce recueil d'Urban Comics titré Jim Aparo la légende tome 1.
Un recueil à lire et à relire.
En conclusion, ce n'est pas un western comme on l'entend mais c'est une histoire agréable à lire avec un chef indien plein de présence.